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L'Essonne (91)



  • Données géographiques

Essonne

dep91

Ce département a été crée le 1er janvier 1968, par démembrement de l’ancien département de Seine et Oise.
Le département de l’Essonne est une portion de l’ancienne Seine-et-Oise, comme ses départements limitrophes que sont les Yvelines à l’ouest, les Hauts-de-Seine au nord-ouest et le Val-de-Marne au nord et nord-est. À l’est et au sud-est se trouve le plus vaste département de la région Île-de-France, la Seine-et-Marne. Au sud et au sud-ouest, se trouvent le Loiret et l’Eure-et-Loir qui appartiennent tous deux à la région Centre.

Essonne
Iles de France


Conseil général
Office département du Tourisme
Archives départementales
  1. Préfecture : Évry
    Sous préfectures :
    Étampes
    Palaiseau

  2. Adresse des Offices du Tourisme
  3. Liste des communes

    Note : ce site officiel du ministère de la culture vous donne toutes les informations relatives à tous les lieux et objets inscrits au patrimoine de chaque commune d'un département.

    Superficie :180 400 ha
    Population: 1 215 340 hab.(2009)
    Dénsité :674 hab./km²
    Nb de communes : 196

Histoire de l'Essonne



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Carte de L'Essonne
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Les départements de la grande couronne de l’Ile de France - Yvelines (78), Essonne (91) - Hauts-de-Seine (92) - Seine-Saint-Denis (93) – Val de Marne (94) – Val d’Oise (95) -, crées par la loi du 10 juillet 1964, non pas d’histoire propre. En effet, ils sont tous issus du démembrement du département de la Seine et Oise. Une notice historique est disponible en consultant cet ancien département en cliquant sur l’icone ci-contre.





Évry


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Le Barrage d'Evry (9 septembre 1863)

Ce village est fort agréablement situé sur la rive gauche de la Seine. L'église paroissiale, bâtie dans une belle position, ne se distinguait que par son ancienneté, lorsqu'il y a quelques années Rossini lui donna une célébrité de quelques moments
Le divin maestro y fit entendre une messe en musique, qu'il avait composée exprès pour la sainteté du lieu. Il y chanta et y tint le piano. Des artistes de l'Opéra et des Italiens, le tant regrettable Nourrit, Bordogni, Levasseur, et trois célèbres donne (cantatrices), la belle Madame Merlin et sa fille et Madame Gide, lui prêtèrent le secours de leur voix. La pauvre petite église d'Évry n'avait sans doute jamais retenti, et ne résonnera probablement plus à l'avenir de l'éclat d'aussi célestes accords.
En 1835, époque où ces lignes ont été écrite, le petit village d’Évry avait une population de 600 habitants. A ce jour, ce petit village est devenu la préfecture du département de l’Essonne et sa population était en 2011 de 52 184 habitants avec une densité de 6 287 habitants au kilomètre carré.


Étampes


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Plan d'Etampe
Note

Le barbet d'Etampes des Cordeliers d'Etampes


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Le barbet des Cordeliers d'Etampes

L’Histoire d’Étampes nous a transmis les faits et gestes d’un barbet qui eut son heure de célébrité, car il inspira les poètes de son pays et de son temps. (C’était au commencement du 18ème siècle.) Il n’avait pas la science de «Munito», mais, pêcheur d’écrevisses aussi adroit qu’ingénieux, il fut pendant plusieurs années le pourvoyeur du réfectoire des Pères Cordeliers, dont le couvent était situé non loin des rives de l’Oise [sic]. Ce chien était dressé et même «préparé» par les religieux, de manière qu’il pût remplir le plus fructueusement possible son office. Voici de quelle façon: Son museau ayant été recouvert d’une sorte de muselière destinée à le protéger, et son corps imprégné d’une liqueur fétide, propre à attirer les écrevisses, des morceaux de pain étaient lancés dans la rivière; la plupart de ces morceaux de pain, rapidement détrempés, coulaient à fond, et le chien, plongeant pour les attraper, remontait bientôt à la surface, tout chargé d’écrevisses qui, sollicitées par l’odeur qu’il exhalait, s’étaient attachées à ses poils. L’opération était renouvelée jusqu’à ce que la provision parût suffisante pour les besoins du couvent.

Note: Munito était le nom d’un chien savant d’origine anglaise, adroitement dressé par son maître, qui l’emmena en tournée dans toute l’Europe autour de 1820. Munito passait notamment pour savoir compter, écrire, et jouer aux dominos. Cet animal légendaire, protoype du chien savant, faisant probablement l’objet d’une lithographie de la même série.

Il est souvent fait mention d'Étampes dans les monuments historiques des rois de la première race. En 604, Clotaire II fut défait dans le voisinage de cette ville par Thierry, son neveu, qui y fit prisonnier Mérovée, et entra en triomphe à Paris peu de temps après.
Sous la seconde race, Rollon, à la tète des Normands, pilla et brûla Étampes et les environs. Étampes, sous la troisième race occupe dans l'histoire une place distinguée. Constance seconde et méchante épouse dut roi Robert, homme faible et dévot, fit bâtir un noble château dans cette ville, présent toujours funeste aux habitants. Robert, qui fonda tant d'églises, érigea l'oratoire du château d'Étampes en collégiale, sous le titre de Ste-Marie. En 1030, il data un diplôme de son palais d'Étampes, ce qui prouve qu'il y séjournait quelquefois
En 1147,il se tint à Étampes une assemblée des grands du royaume, ou on décida que les croisés iraient par terre à Constantinople et, où on fit choix de l'abbé Suger et de Raoul de Vermandois pour gouverner le royaume pendant l'absence de Louis VII; Raoul était chargé du commandement des armées, mais sous l'autorité de Suger, déclaré régent. Une ordonnance en vingt-neuf articles, qui tient tout à la fois aux droits du monarque, aux privilèges des communes et à leur police ou administration intérieure, fut rendue à Paris en 1179, pour la ville d'Étampes.
Le château d'Étampes, comme tous les châteaux de cette époque, servie plusieurs fois de prison, jadis habité par des rois, après la mort de Philippe Auguste il ne le fut plus que par des prisonniers. En 1194, il devint la prison du comte de Leicester ; Louis IX ou saint Louis y fit emprisonner Jean Britaut, chevalier, accusé d'avoir fait assassiner le fils de Pierre Dubois, chambellan et secrétaire du roi; mais il ne tarda pas à le faire relâcher.
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L'Ancien château de Mont

Étampes, comme tous les lieux habités de la France eut sa part des événements qui, pendant le XIVe et le XV siècle, plongèrent ce royaume dans un abîme de calamités. En1411, cette ville, occupée par les gens de la faction d'Orléans, commandés par Lois de Bosredon, fut assiégée par les Bourguignons. Bosredon rendit la place le 15 décembre et il lui fut fait grâce de la vie, mais tous les soldats de la garnison furent égorgés, à l'exception de trente deux des principaux, qu'on envoya à Paris les mains garrottées derrière le dos; c'est ainsi qu'on entendait la justice au xve siècle. Toutefois, ce même Bosredon, fameux par ses rapines et amant de la reine Isabeau de Bavière, ne porta pas loin son impunité. Étant allé à Vincennes en 1417, pour y visiter, disait-on, la reine Isabeau de Bavière, il rencontra sur son chemin le roi Charles VI sans s'arrêter, sans mettre pied à terre, il se borna à le saluer. Piqué de cette conduite, et instruit des intrigues amoureuses du chevalier, le roi le fit saisir par le prévôt de Paris, et, après quelques interrogatoires, on le jeta dans la Seine, enfermé dans un sac, sur lequel était cette inscription : « Laissez passer la justice du roi. »
Etampes fut pris en 1562, et occupé par les troupes allemandes que le prince de Condé avait attirées en France. Les protestants reprirent cette place en1567. Les troupes de la Ligue s'en emparèrent en 1589 ; mais Henri III, l'ayant reprise peu de temps après, fit décapiter les magistrats ainsi que le baron de St-Germain, qui s'y était jeté avec les troupes qu'il commandait. En 1590, Henri IV s'empara d'Étampes et du château, dont il fit raser les fortifications.
Pendant les troubles de la Fronde, Turenne entreprit sans succès le siège de: cette ville, qu'il fut obligé de lever le 27 mai 1662 pour se rapprocher de Paris.

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Couvent des Célestins

Depuis cette époque, l'histoire laisse Étampes dans une heureuse obscurité dont elle fut tirée en 1792 par un attroupement séditieux composé d'environ 800 hommes des environs, qui fondirent sur le marché de cette ville, y taxèrent arbitrairement le prix du blé, et en achetèrent d'après cette taxe.
Henri Simoneau maire d'Étampes, s'opposa de tout son pouvoir à cette violence. Voyant ses remontrances inutiles et ses ordres, méprisés, il annonça qu'il allait faire proclamer la loi martiale ; à ces mots, les séditieux se précipitent sur ce magistrat et le percent de plusieurs coups de baïonnettes. Avant d'expirer, il dit a ses assassins : « Ma vie est a vous, vous pouvez me tuer; mais je ne manquerai pas à mon devoir, la loi me le défend. » Instruite de cet attentat, l'Assemblée Nationale, dans sa séance du 18 mars, décréta qu'il serait élevé sur la place du marché d'Étampes une pyramide triangulaire sur laquelle seraient inscrites les dernières paroles de ce maire courageux, victime de son devoir; que son action et sa mort seraient représentées sur un bas relief, qu'on déposerait son écharpe et ce bas relief au Panthéon, et que, le 3 juin suivant une fête serait célébrée à Paris pour honorer sa mémoire elle le fut en effet avec une magnificence extraordinaire, mais la fin glorieuse du courageux maire d'Étampes est à peu près oubliée, et l'on cherche en vain dans cette ville le monument que lui avait décrété l’Assemblée Nationale.La vallée d'Étampes offre un des plus beaux paysages de la France par sa fraîcheur et sa variété. Au bout de la plaine des Sablons, au milieu des prés, on voit les restes d'un vieux bâtiment, qui porte le nom de tour de Brunehaut, mais qui est beaucoup plus ancienne que cette reine sous ses ruines, on a découvert des fragment des vases, des médailles impériales une figure de Priape, et d'autres antiquités romaines. Sur l'emplacement de cet ancien édifice, M.Ch.Viarten a fait élever un nouveau, qui présente, sous des formes pittoresques une forteresse isolée. Sur les bords de la rivière de la Louette, près de la porte de Chaufour, on rencontre des fossiles en forme de tuyaux de différentes longueurs et de différents diamètres, que l'on désigne vulgairement sous le nom de pétrifications d'Étampes.


Corbeil


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La Seine à Corbeil

Au commencement du IX siècle n'était que le nom d'un territoire ou la réunion de quelques cabanes de pêcheurs ou de bateliers. En 863, les incursions des Normands obligèrent ceux qui possédaient les reliques de saint Exupère et de saint Loup de les transporter dans le voisinage de Corbeil et de les mettre en sûreté, non dans ce lieu qui n'avait point de forteresse, mais dans un château appelé Paluau, proche la jonction des rivières d'Étampes et de Juines à 8 ou12 kilomètre du bourg d'Essonne. Ces reliques conservées contribuèrent dans la suite à l'illustration de Corbeil, qui reçut en moins d'un siècle une consistance qu'il n'avait jamais eue. Sa situation sur la route que suivaient les Normands dévastateurs y fit établir un château. Une charte du comte Bourchard, de l'année 1006, démontrerait que les comtes de Corbeil y avaient dès lors un Saint Palais. Corbeil et ses dépendances furent donnés à titre de douaire à Isemburge, veuve de Philippe Auguste, qui s'y retira et y fonda une église et une communauté, qui plus tard devint une commanderie de l'ordre de Malte. Ce fut dans le palais d'Isemburge que le grand maître, Villiers de l'Ile-Adam, tint un chapitre de son ordre. L'église, la commanderie et le palais, tout a disparu ou changé de face pendant révolution.

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Notre Dame de Cergy

Plusieurs reines eurent aussi leur douaire assigné sur Corbeil et habitèrent cette ville. La première fut Adèle de Champagne, épouse de Louis VII; elle y résida quelquefois depuis la mort de ce prince. La seconde fut Isemburge. La troisième fut Blanche de Castille, qui resta veuve de Louis VIII dès l'an 1226, et vécut jusqu'en 1250; elle y était en 1248,lorsque Louis IX, avant de partir pour la terre sainte la même année, l'établit régente du royaume par lettres datées de l'Hôpital-lez-Corbeil, c'est-à-dire, de St-Jean en l'Ile. La quatrième fut Marguerite de Provence, veuve de Louis IX. La cinquième fut Clémence de Hongrie, veuve de Louis le Hutin, depuis l'an 1316.
Louis le Gros prit possession du château des comtes de Corbeil, après en avoir soumis et châtié le dernier propriétaire. Louis VII y résidait en 1143 et saint Bernard vint l'y trouver et lui parler de l'incendie de Vitry en Champagne. Selon Joinville la cour était alors composée de plus de trois cents chevaliers. Vers 1262, Jacques Ier, roi d'Aragon, y vint régler quelques différends avec le roi, et le mariage de sa fille avec Philippe le Hardi. Philippe le Bel tenait sa cour à Corbeil en 1290; ce même roi y était encore en 1303. Philippe le Long faisait sa résidence la plus ordinaire à Corbeil: il s'y maria en janvier 1306 avec Jeanne, fille d'Othon IV, comte de Bourgogne. Au mois d'avril 1329, Charles le Bel signa à Corbeil une alliance avec Robert, roi d'Écosse. Louis XI et Louis XII séjournèrent aussi au même château, le premier n'y passa que deux jours après la bataille de Montlhéry, en1465; le second y venait assez souvent et c'est là que le recteur de l'université de Paris et ses suppôts vinrent le trouver pour recouvrer ses bonnes grâces.
Plusieurs sièges et combats ont désolé Corbeil. En 1357, cette ville fut prise et pillée par un chef de partisans appelé le Bègue de Villaines, et ensuite par les Anglais et les Navarrais. En1363,des gens d'armes français y commirent des excès inouïs. En 1415, le duc de Bourgogne l'assiégea sans succès pendant un mois Corbeil devint alors un lieu de réunion, d'asile et de conférence le château était vaste et bien fortifié c'est dans sa grosse tour, fameuse par son élévation, que Charles VII fit enfermer le fameux Georges d'Amboise.
Le16 octobre 1590, le duc de Parme prit d'assaut la ville de Corbeil, après y avoir perdu beaucoup de monde, et l'abandonna à discrétion à son armée ; les habitations furent pillées et saccagées, les filles et les femmes violées, les habitants tués, blessés ou horriblement mal traités. Rigault, chargé de défendre la ville, fut tué sur la place. Le10 novembre de la même année, de Givry, gouverneur de la Brie, partit de Melun, et dans l'espace d'une heure reprit cette ville par escalade.

La ville de Corbeil est agréablement située sur la rive gauche de la Seine, au confluent de l'Essonne. Les environs sont très riants mais la partie qui est la plus agréable est celle qui s'étend dans le vallon qu'arrosent les ramifications de l'Essonne. Outre son antique église, on y remarque les superbes moulins de MM. d'Arblay, où le système de mouture à l'anglaise est appliqué dans toute sa perfection. la halle au blé, et le vaste grenier de réserve, immense bâtiment à six étages, construit sous le ministère de l'abbé Terray : nous avons vu réunie dans ce grenier, en juin 1841 une quantité de grains suffisante pour nourrir pendant quinze jours toute la population de Paris. Corbeil communique avec Paris par un chemin de fer achevé depuis1840. La station de départ est située sur le boulevard de l'Hôpital, vis-à-vis le pont d'Austerlitz. Le trajet de Corbeil à Paris et retour se fait en 55 minutes.


Palaiseau


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Barrière de Lourcine à Palaiseau

Ce bourg, dont l'origine remonte à une époque très reculée, doit son nom à un palais qui y existait sous les rois de la première race, où Childebert rassembla les grands du royaume en 512. La terre de Palaiseau appartint au domaine royal pendant tout le temps de la domination mérovingienne; mais elle cessa d'en faire partie au commencement de la seconde race. L'abbaye de ST-Germain posséda cette terre jusqu'en 950, époque où, aliénée par Hugues le Grand, qui en était abbé, elle passa à divers seigneurs laïques.
Le château de Palaiseau, dont il ne reste plus que des ruines, était jadis assez considérable ; il existait encore en 1757, époque où écrivait l'abbé Lebeuf, qui dit « que sa situation était avantageuse pour l'étendue de la vue, et que l'on y voyait plusieurs tours antiques avec leurs créneaux , et des pointes en dessous en culs-de-lampes. »
L'église paroissiale, dédiée à saint Martin, est située sur la pente de la montagne. Le portail, la tour et le chœur sont des constructions des XII et XIII siècles.

Le bourg de Palaiseau est situé dans une vallée agréable, sur l'Yvette, et sur l'ancienne route de Paris à Chartres. On voit dans ses environs plusieurs belles maisons de campagne.
En 1835 le bourg de Palaiseau avait 1716 habitants. En 2011la ville recèle 30 316, et fait partie également des grandes cités de la ceinture parisienne. En 1962, elle est promue au sous préfecture du département de la Seine et Oise, et devient en 1968 sous préfecture du nouveau département de l’Essonne.


la Basilique de Longpont sur Orge

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la Basilique de Longpont sur Orge


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Montpont sur Orge - J. Flacher

Au IXèmesiècle, Longpont était un bourg assez considérable, dont dépendaient plusieurs villages des environs. Guy de Mont-le-Héry y fonda, en 1061, un monastère qui fut l'origine d'un célèbre prieuré conventuel de l'ordre de Cluny, détruit en parti dans au cours du XIXème. Les bâtiments de ce monastère étaient construits en grès et en briques ; ils formaient un carré parfait avec une cour au milieu et un cloître autour.
L'abbaye de Longpont et les biens dépendants du prieuré furent vendus, à l'exception de l'église, en 1791. Le bâtiment conventuel a été transformé en une belle maison de plaisance: En 1819, l'église menaçant ruine, on se décida à en abattre une partie ; lors de sa restauration, en 1820, on en a supprimé le chœur et le chevet, et placé le grand autel au centre de la croisée. Malgré ces démolitions, cette église est encore une des plus remarquables des environs de Paris. La façade est d'un ensemble lourd et irrégulier ; mais les détails ne manquent pas de grâce et de légèreté: La grande porte en ogive est divisée en deux parties par un pilier contre lequel est adossée une statue de la Vierge ; de chaque côté de l'arcade on remarque quatre figures, dont l'une représente saint Barthélémy, un des patrons titulaires de l'église. Dans le double cordon de l'ogive on a sculpté des anges portant, les uns des coupes , et les autres des encensoirs ; et à son extrémité supérieure on a représenté le Père éternel bénissant les vierges sages, dont les figures sont placées à sa droite; à sa gauche sont les vierges folles, ayant leurs lampes renversées ; au pied de la dernière est un arbre desséché avec une cognée déjà dans la racine, tandis que sous les vierges sages est un arbre chargé de fruits. Le château de Villebouzin est une dépendance de Longpont. La chapelle, la salle de spectacle, l'orangerie et le parc, arrosé par des eaux vives, en font une habitation des plus agréables. La Basilique de Longpont possède la plus grande collection de reliques de France.




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